En politique régionale, Mohammed Ben Salman est un dur, un sanguinaire. Il est décidé à contrer l’influence montante de l’autre puissance régionale, l’Iran. Il accuse la République islamique de « vouloir prendre la tête du monde musulman ». Il perçoit la main de « l’impérialisme perso-chiite » en Irak, en Syrie, à Bahreïn, au Yémen, au Liban.
Depuis trois ans déjà, ministre de la défense, il mène au Yémen une guerre dévastatrice contre le peuple yéménite, qui passe pour être soutenue par Téhéran. Sous le choc de bombardements aveugles, des millions de Yéménites sont aujourd’hui menacés de famine et plusieurs milliers ont déjà perdu la vie. Il finance DAECH dans le but de détruire la Syrie, l’Iran et l’Irak.
Pour en conclure Mohammed Ben Salman est un partisan de la guerre. Et sans se rendre compte, il est aussi devenu un grand ennemi de l’islam et du monde arabe.